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cappuccino gino

cappuccino gino
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5 janvier 2011

LE MOT DE LOTEUR

Voici donc le 2° tome de Ginostagie , rien à voir avec le 1er ( La Nuit de la Saint Benoît ) .

Il y aura bien un 3° ( et dernier ) mais ce sera pour un peu plus tard !

Ici , comme auparavant , j'ai fait ce que j'ai pu mais je l'ai fait de bon coeur !

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5 janvier 2011

PREMIERE DE COUVERTURE

JOËL MARASSE

GINO , LE RETOUR

EDITIONS LOTEUR

29 décembre 2010

GINOSTALGIE ........

.............. TOME 2

29 décembre 2010

Pas étonnant .....

...... que la nostalgie soit devenue le mal du siècle !!!!!

29 décembre 2010

LA COUVERTURE A LAQUELLE VOUS AVEZ ECHAPPE !!!!

JOËL MARASSE

GINO , LE RETOUR ...

CREATION DEAMBULATOIRE

AUTOUR D'UN AUTRE

CAPPUCCINO ...

EDITIONS LOTEUR

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29 décembre 2010

DEJA PARUS .

Traditionnellement , vous trouvez à cet endroit-ci la liste ( plus ou moins longue ) des ouvrages conçus précédemment par l'auteur

( ici Lôteur ) .

La mienne ne comporte que deux titres :

1) un recueil de simili - poèmes intitulé modestement " Par - delà la phraséologie " , écrit entre 1970 et 1975 , recueil déclaré

inachevé à la 100° page .

2) un roman pseudo - policier " La Nuit de la Saint - Benoît " , écrit entre 1976 et 1984 , qui raconte les premières aventures de Gino

Cappuccino précocement disparu au bout de la nuit mais ressuscité dans l'opus que vous allez lire .

26 décembre 2010

DEDICACE(S)

Ceci est une dédicace . On la désignera sous la référence " Dédicace 1 " .

La veille de sa mort , Gino sut que l'heure était venue . Alors , il se retourna sur son passé et sur son fauteuil . Ce qu'il VIT dans les

deux démarches , ce fut le même être , le seul compagnon de mirages et d'infortunes qui pendant ce demi-siècle de heurts , bons

ou mauvais , avait été là , toujours là .

Alors , il prit dans le deuxième tiroir de son bureau un vieux manuscrit écrit de sa sueur et de son sang , ouvrit les premières pages

et porta de son cristal noir la dédicace suivante :

                         "  A Jean - Philippe Smet ! "

Puis , il se retourna , à nouveau , vers le poster de Johnny punaisé sur le mur du fond et le salua d'un geste de la main .

Cette dédicace sera celle de Gino écrivain .

La mienne ( " Dédicace 2 " ) , celle de Lôteur , serait tentée de rejoindre celle de Cappuccino mais il lui faut s'en démarquer : alors ,

je voudrais surtout dédier ce livre à mon père Charles qui a su se montrer si discret , si secret et qui est parti bien trop tôt .....

( Je n'oublie pas Johnny pour autant ! )

A MON PERE !!!

5 novembre 2010

INTRO : OU LE POURQUOI DU COMMENT .....

Vers le crépuscule de l'an 1984 , je terminais dans la douleur la plus extrême mon premier , seul et unique , roman , ou pré -

- tendu tel .

Erreur suprême : je venais bêtement de faire mourir mon héros : le grand , le beau , l'irremplaçable Gino ! Durant de nombreuses

années pendant lesquelles je m'assoupissais dans une béate satisfaction de l'oeuvre unique , rien de tragique ne m'arriva et puis un

jour ...

L'envie , l'envie d'avoir envie . Ecrire , raconter , me raconter . Faire ressusciter Gino et le remplacer par Cappuccino , le vrai .

Vous avez compris ?

Un stylo , un cahier ..... et le tour est joué . Cependant , il fallait trouver matière .

L'envie pour combattre , pour néantiser , pour exhorciser une autre envie .

Mauvaise passe que celle de la déchéance insidieuse due à un alcoolisme envahissant . La descente aux enfers ! Et puis , le réveil

au sortir du coma ........ éthylique .

Cette envie de courir , de courir encore , de courir toujours , de courir le monde , de courir autour du monde .

Envie de courir mais aussi d'écrire . Ecrire en courant . Voilà l'idée ! Mètre après mètre , de touffe d'herbe en caillou poli , je me ré-

-pétais mentalement toujours les mêmes histoires et puis j'essayais d'en rajouter un peu à chaque sortie .

Qu'écrire ? Que raconter ? Ma vie ? Ma petite vie de peigne - cul ? Difficile .....

Il fallait trouver un artifice et c'est là que le désespoir d'avoir fait disparaître Gino me prit . Mais , pourquoi désespérer ?

Je m'étais sorti d'affaire avec ces putains de bouteilles qui s'empilaient dans le fond de mon cerveau . J'avais fait le plus gros .

Je pouvais faire ressurgir Cappuccino , qui , en fait , était " mon " héros et n'appartenait qu'à moi .

Gino serait moi . Je serais Gino . Il faudrait broder , raconter des bribes de vérités , broder à nouveau , faire " du souvenir " ,

imaginer un futur hypothétique , parler du " labeur d'écrire " .

Et le tout bien mélangé , mixé , flashbacks et touti frouti . L'aventure s'annonçait passionnante . Je tenais mon ( mes ) sujet ( s ) .

Allez , essayons d'être clair !

1) Tous les chapitres vont porter le nom d'une étape de CAP ( Course à Pied ) , histoire de rendre hommage aux entraînements

qui m'ont permis de construire tout ou partie de ce ou ces livres .

2) L'histoire , en général , va raconter les aventures passées , présentes et à venir de Gino Cappuccino , mon héros . Les pages

relatant le passé seront écrites en bleu , celles relatant le présent seront écrites en jaune , le futur en vert .

Pour revenir au présent de Gino , il s'agit de l'écriture ( laborieuse ) d'un livre sur un passé douloureux et amoureux . Un livre dans

le livre , d'autres l'ont déjà fait ( rarement , il est vrai ! ) mais c'est à tenter !

Tout çà dans un méli-mélo systématique de passé - présent - avenir ( de fâçon à ne pas se perdre , suivre les flèches de chaque

couleur ! )

Vous pourrez lire chaque histoire ( bleue , jaune , verte ) séparément ( 1 - 4 - 7 ou 2 - 5 - 8 ou 3 - 6 - 9 ) ou vous laisser porter au

fil des pages .

Concluons - là cette intro ! Me voilà impatient de vous raconter ! Je serai toujours à temps de vous glisser quelques indices com -

- plémentaires au gré des chapitres ! Il n'y a pas d'interdit lorsqu'on s'auto-édite !!!

26 octobre 2010

CHAPITRE 1 : DE LA MAISON A CAZENEUVE .......

Il serait temps de créer de toutes pièces un personnage , une image , une inconnue , inconnue pour eux , mais pas pour

moi . En un mot , il serait temps de leur parler de toi ......

Je peux te créer , c'est vrai , mais je vais tâcher d'être honnête , pour une fois , et je vais simplement te recréer . Car tu as

existé ! et , peut - être même , existes - tu encore ! C'est notre futur commun qui reste à créer . On peut l'imaginer , on peut

le rêver , on peut délirer ! Je ne te demanderai point ton avis : je suis bien trop sûr que , pour toi , je n'existe plus depuis

longtemps . Qui donc peut bien se rappeler de toi , de nous ? Personne , personne ..... Je suis seul , désespéré !!!!

Mais non , tu n'es pas seul , Gino : il reste le souvenir . Souvenirs , souvenirs !

Elle s'appelait Tania . On l'appelait Tania . Elle s'appelait pour de vrai Tatiana Llinares . C'est tout ce qui me reste !

Même pas une date de naissance ....... rien !!!!! Une ou deux photos jaunies , pas bien nettes ...... C'est peu et c'est

beaucoup , c'est tout et c'est TOUT !!!!! Je préfère encore le souvenir car la réalité serait bien décevante , je pense !

Le jour où je l'ai rencontrée , c'était une après - midi d'Avril , en 1968 ..... qui n'était pas encore " 68 " .

Qui donc aurait pu prédire en ce mois d'Avril ce qui allait se produire ? Il n'y a que les menteurs postérieurs qui le tenteront

beaucoup plus tard .

Il était une fois , il était un car ...... Oui , je sais , un car , c'est banal , très banal ! Mais ce car - là , ce jour - là , fut une vie ,

presque toute une vie .

Je monte donc . Pourquoi ? Comment ? De quel pied ? Je ne m'en souviens guère . Virage à gauche , et là , une paire

d'yeux , seulement tes yeux , rien que tes yeux . Plus tard aussi , j'apprendrai qu'ils étaient pers , pervers , comme tu t'amu -

- sais à le dire . Pour l'heure , ces yeux - là me voient et me regardent . Je vacille , je crois vaciller . Elle était tout au fond du

car , vous savez , cette place au dernier rang bien au milieu .......... et elle me regardait ..........

De ce jour - là , je ne me souviens de rien d'autre . J'ai dû m'asseoir , comme chacun fait ! Et puis , je me réveille le lende -

- main . Elle est là , encore là , toujours là . C'est dans une cour maintenant , il y a beaucoup de monde autour de nous mais

çà ne compte pas . Nous nous asseyons dans l'herbe , tout contre un petit muret . Nous parlons . De quoi ? De qui ?

Je ne m'en souviens guère ! Les deux savent mentir . Ils se présentent sous leurs meilleurs jours . et puis , le car revient .

il nous avale , nous lamine et nous ramène chez nous .

dix fois , cent fois , je me la suis racontée cette histoire .......... en courant le long des roubines en Camargue .

elle est exhaltante en son début et puis elle se meurt fortuitement au passage d'un flamant . J'ai déjà parlé de ses yeux ,

ces yeux qui me reviennent la nuit , certaines nuits , du plus profond des ténèbres .

Il y avait aussi un certain physique , que je voulais sublime . Mais je pense que j'étais un peu troublé . A regarder les deux

photos qui me restent , elle n'était pas bien grande , elle n'était pas bien mince . J'aurais peut - être de la peine à la

retrouver . Il me restait les yeux ..........

Ce n'est pas après le car que les choses se sont emballées . Il y a eu " Mai 68 " , le Grand , le Beau , le Merveilleux .

Il est de bon ton à l'heure actuelle de renier cette période , de brûler les idoles , de responsabiliser Mai 68 comme cause de

tous nos malheurs . Bavez , bavez encore , bavez toujours !

Moi , j'ai toujours gardé ce joli mois de Mai dans mon coeur . Il est lié à ton image , à ta poursuite , à notre approche ......

Mai 68 , mois révolutionnaire ? Non , mois amoureux !!!!

Le Lycée fut occupé sans heurts . Oui , le fameux Lycée Mignet , celui dont je vous bassine depuis 30 ans : alors , une fois

de plus ou de moins !

Lycée presqu'exclusivement constitué de garçons ....... Alors , les filles !!!!!!

A cette époque , on connaissait bien quelques filles mais c'étaient essentiellement des cousines ou des amies des soeurs .

Et puis , Mai 68 .....

C'était un matin , oh oui , j'en suis sûr , au bahut . Nous accumulions les réunions , transitant d'une salle à l'autre ,

échafaudant mille projets , mille sociétés nouvelles . J'allais rentrer dans une salle du premier étage quand je fus intrigué par

un attroupement au bout du couloir près de la Conciergerie . Il faut dire que c'est là où nous avions installé un bureau chargé

de filer les entrées . Nous ne souhaitions pas d'ingérence extérieure . Je m'avance donc , investi de mon rôle de " meneur " .

et là ..... je " la " vois au milieu d'un groupe de filles de Cézanne . La fascination reprend . Royal , impérial , je lui ouvre le

chemin , à elle et ses camarades . Et dire qu'on avait juré de ne tolérer aucune intrusion , aucune ingérence ......

Mais , Tania était là et son regard parlait pour elle . Que se passa - t - il ensuite ce jour - là ? J'ai dû rêver et rêver encore .

Tout comme un peu plus tard dans le mois qui vient ! On se retrouve en Juin autour d'un méchoui . , et là , enfin , sur " I

never leave you " de Nicole Croisille ..... la séquence du baiser et le début du début ......

Que se passa - t - il ensuite ? Rien de bien original ! L'amour , surtout quand il est fou , ce n'est pas l'aventure ! Loin de là !

On s'aimait ! Et celà suffisait !

je n'ai qu'un souvenir embué des évènements , il me reste surtout un climat , une douce quiétude . Je déclare l'Etat de Bon -

- heur Permanent !

Nous voilà donc arrivés à la  fin de ce premier châpitre . Comme vous ne l'avez peut - être pas compris , c'est Gino lui - même

qui écrit et qui rend un vibrant hommage à Tania , son amour de jeunesse . Vous retrouverez la suite ( théoriquement ) de

son livre-dans-le-livre au châpitre IV .

A Bientôt !

13 octobre 2010

CHÂPITRE 2 : DE CAZENEUVE A CELLE DU FACTEUR .....

  -  Péri !

  -  Gino !

Deux noms , deux prénoms , deux surnoms échangés sur un terrain vague , vague terrain qui servait de parking .

Quarante ans que ces deux - là ne s'étaient point vu ! Un tout petit bled vers La Rochelle . Trois maisons au plus !

Et là , deux hommes mûrs , la soixantaine triomphante , qui se serrent longuement la main . Les regards sont pudiques .

Les femmes sont derrière et se gardent d'intervenir . Elles s'écartent pour aller chercher leurs numériques afin d'immorta-

-liser ce moment historique .

Et la conversation reprend , quittée seulement quarante ans auparavant .....

Note de Lôteur : je ne me rappelle plus si c'est bon pour le scénario , tout au moins pour celui - là !

Faut - il que Gino soit ( encore ) marié , soit veuf , divorcé ? On verra bien ! On sera toujours à temps pour élaborer plu -

- sieurs procédures .

Quelques mois plus tôt , ils s'étaient retrouvés sur Internet . Quel beau cadeau de Noël pour Gino que ce message trouvé

le soir du 24 sur son écran :

  "  Oui , c'est moi , Péri , le Péri de 68 à Mignet .  salut , Gino , content de te retrouver . Qu'es - tu devenu ? "

Un vieux rêve , pas si vieux que çà d'ailleurs , celui de retrouver le passé , le passé avec Tania . Péri avait connu cette

époque . Celle de la T4C . Celle de l'apothéose , celle de l'embellie , celle du Gino éblouissant , fou amoureux d'une Tania

énigmatique dans sa tour d'ivoire !

Oui , tout est comme avant , rien n'a changé et pourtant tout est différent . Rien n'est pareil et pourtant tout est comme

avant .

Dans un coin du parc , une mini - construction qui abrite un barbecue en dur . Péri était en train de préparer le repas .

Gino s'assoit à ses côtés . Les femmes se retirent , se rendant compte qu'elles ne sont pas de mise . Et puis , elles ont

besoin de faire connaissance , elles qui ne se sont jamais rencontrées de leur vie . Et la journée se passe , au rythme des

minutes , au rythme des secondes qu'on voudrait éternelles . Cette journée , ils en ont rêvé depuis plusieurs mois . Ils

voudraient l'arrêter , la figer dans le temps . Ils savent que demain , oui demain soir , ils vont devoir se quitter pour se revoir

on-ne-sait-trop-quand .

Il faut profiter de l'instant présent . Alors , ils s'activent . Promenade en vélocipède , partie de boules , tout est bon ! Le soir

vient .

Repas avec la famille ( celle de Péri ) puis veillée dans le fond d'un grenier en revisitant quelques vieux tubes des " Années

Soixante " . Nostalgie , quand tu nous tiens ! et demain ? Déjà demain ?

Demain , c'est fiesta . Un voisin a prévu un grand rassemblement des gens du hameau et de leurs amis . Un méchoi !

Il y a bien longtemps que Gino n'a pas été à un méchoui . La dernière fois , c'était ..........

Allez , passons ! Il faut aller se coucher . Mais ce soir , Gino et Péri vont s'endormir sereins , heureux tout bêtement .

Ils sont tous les deux maintenant à la retraite . Ce sont leurs premières vacances .......... éternelles !

Péri revient des States où il a fini sa carrière dans une grande ambassade dans une grande ville dans un grand pays .

Gino , lui , revient de nulle part et de partout . Sa carrière d'enseignant spécialisé , " hussard noir de la République " , l'a

mené , chaque matin , pendant trente ans , au Collège le plus proche , si proche qu'il lui fallait une petite minute pour faire le

trajet . Rien de comparable donc mais une fraternité constante au - delà des monts , des océans , des trous de mémoire et

du temps qui passe .

et le soleil se leva . Les p'tits oiseaux ! Et tutti frutti ! Il fallut se frotter les yeux . Un peu de bruit sur la terrasse en bas .

Gino descendit . Ils étaient tous là . Les deux femmes dialoguaient dans leur coin en catamini style confessional . Gino

connaissait la femme de Péri car elle était déjà " promise " à l'époque de Mignet et de " 68 " . Mira , la femme ( actuelle ) de

Gino , était " récente " pour eux . Que pouvaient - elles bien se dire ?

Péri lui tendit une vieille photo jaunie ( Hallyday ) de leur classe commune de Terminale .

  -  Tiens , regarde çà !

  -  Voyons , voyons ! Mais c'est Pépita !

  -  Pépita et ses 40 bandits !

Pépita était leur prof de Maths . Un petit bout de femme énergique qui régnait sans peine sur ses 40 soixante-huitards

frais émoulus .

  -  Tiens , nous voilà tous les deux ! On avait dû échanger nos vestes . Qui nous reconnaîtrait maintenant avec nos cheveux

longs , nos barbes naissantes , nous qui sommes devenus des défenseurs de l'ordre établi , poil ras et regard clair !

  -  Cà , c'est toi qui le dis , répondit Péri .

On ne sut jamais ce qu'il entendait par là .

La matinée passa comme le reste , bien trop vite !

Midi vint . Divin ? Allons voir !

Rendez - vous à une centaine de mètres de là chez un voisin et ami de longue date de Péri .

Un pré derrière la maison principale , beaucoup de gens , voisins ( quelques ) , connaissances ( nombreuses ) .

Cà se connaît , çà se reconnaît , çà boit ( apéro ) , l'attroupement principal autour d'un mouton qui tourne et retourne

sur des braises incandescentes . Un moteur de vélosolex , c'est rigolo !

Gino n'est pas décontenancé , il suit plus ou moins Péri qui est ravi de présenter son pote historique . La tribu suit .

Puis , tout se stabilise . L'hôte entreprend Gino sur l'enseignement . Piège ! Il ne faut pas se laisser aller ou dans trois

heures , on y est encore !!!!

L'ambiance était douce , le rosé coulait à flots , tout le monde était gai . Gino , lui , ne buvait pas , ne buvait plus

depuis longtemps . Mais peu importe , il se laissait porter par la douce quiétude environnante . Et puis , il avait retrouvé

Péri .

Quand soudain .....

Non , ce n'est pas Gérard Lambert !

Il faut vous dire que Gino était assis sur un tronc d'arbre . Une ombre passa devant lui , se détachant sur l'herbe grasse.

Il était 16h08 . Une main se posa sur son épaule .

  -  Mais c'est Gino , Gino Cappuccino !

C'était assurément une femme d'âge mûr qui venait de parler .

Il se retourna et ...........................................

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